Lu en Janvier 2017
Quand « Le Chien des Baskerville » est une lecture imposée à ma fille dans le cadre de son cours de français, c’est avec une grande joie que je me replonge dans ce chef d’œuvre de Conan Doyle que j’ai eu, moi aussi, à lire quelques décennies plus tôt dans le cadre scolaire. Le titre m’évoque le souvenir d’une lecture agréable et, même si j’avoue avoir un peu oublié le contenu, je me souviens que c’est un livre que j’avais adoré à l’époque ! Ma mémoire des sensations était exacte, je me suis replongée avec bonne humeur dans cette lecture divertissante, en riant des expressions utilisées, en m’amusant des échanges entre Holmes et son cher Watson. C’est une belle plume, une belle intrigue, en total décalage avec les thrillers trash que j’ingurgite matin midi et soir, ce qui n’a pas empêché que j’en apprécie une nouvelle fois la lecture… Sacrebleu, ce qu’il est observateur, ce bon Holmes ! M’est avis que ses récits traverseront les époques sans prendre une ride ! Celui-ci en particulier où une terrible malédiction familiale est jugée responsable du tragique décès de Sir Charles de Baskerville et semble menacer son héritier, le brave Sir Henry… Mais est-ce diablerie ou supercherie ? Seul Holmes est capable de trouver le rationnel sous l’irrationnel, aidé de son fidèle associé Watson. Bonne (re-)lecture !